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Ou comment The Whisky Lodge lance une nouvelle gamme de whiskies écossais aux accents punk : Kirk & Bright.
Ça a débuté comme ça. On était en 1976, aux États-Unis, et tout indiquait qu’il allait se passer quelque chose. L’air était saturé de napalm, l’idéologie peace and love moribonde. Tout cela ne sentait pas bon. Rien de surprenant à ce qu’émerge des bas-fonds un mouvement qui allait emplir le monde de bruit et de fureur. Parti des caniveaux de New-York, le punk, franchirait rapidement la Manche pour dévorer Londres.
Kirk était au premier rang lorsque les Sex Pistols ont terrorisé les petites Anglaises et la Monarchie. Emporté par la vague, le jeune homme déchirait ses beaux costumes en tweed, ne jurant plus que par les guenilles SM de Vivienne Westwood. Ce qui se déroulait devant ses yeux soulignés de noir, c’était l’Histoire en marche. Le thé à cinq heures, très peu pour lui : il était un punk, il le savait maintenant. Et à ceux qui critiquaient son allure, il n’avait qu’une chose à répondre : « F*** off ! ».
Quelques années de frasques et bien des pots de peinture plus tard, Kirk vit désormais reclus dans les Highlands. Quelle meilleure manière d’emmerder le monde que de ne voir personne ! À ses côtés, un mouton facétieux, Bright, avec qui il partage le goût de la solitude et son amour du whisky. Collectionneur invétéré, Kirk a accumulé les flacons comme auparavant les 45 tours, les ecchymoses et les épingles dans son perfecto. Au milieu des raretés, une bouteille se détache, irrévérencieuse et hautement colorée, semblant narguer du haut de son jeune âge ses voisines vénérables. Quand la nostalgie le prend, c’est celle-là qu’il débouche.
Sauvez un punk : buvez du whisky ! Découvrez Kirk & Bright sur whiskylodge.com
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